οὐκ ἔστ’ ἀκριϐὲς οὐδὲν εἰς εὐανδρίαν·
ἔχουσιν γὰρ ταραγμὰν αἱ φύσεις βροτῶν. (« Il n’y a aucune certitude concernant la vertu ; la nature des mortels est en effet toute confusion. », Euripide, Électre)
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(Ier ou IIe siècle apr. J.-C.)
Quelques éléments biographiques
Sous ce nom se cache un auteur inconnu, rédacteur d’une œuvre, la Bibliothèque que l’on attribuait autrefois à un grammairien du IIe siècle av. J.-C. nommé Apollodore. Comme il a été démontré que ce dernier ne pouvait être l’auteur de l’ouvrage, cet auteur inconnu est parfois désigné sous le nom de « Pseudo-Apollodore » ; néanmoins, pour conserver la tradition établie, il ne semble pas incongru de garder l’appellation « Apollodore » en considérant l’œuvre pour elle-même.
Son œuvre
– La Bibliothèque (Βιϐλιοθήκη [Bibliothêkê] en grec) est un ouvrage en prose dans lequel sont répertoriés de nombreux récits mythologiques : l’auteur commence par rapporter la succession des premières générations divines avant de s’intéresser à la descendance de Deucalion (Éole et ses enfants par exemple), aux Argonautes, à Hercule, et à d’autres héros bien connus comme Bellérophon, Thésée ou Œdipe. L’œuvre n’est peut-être pas des plus remarquables sur le plan littéraire, mais elle apporte de nombreux détails précis sur ces mythes.
Quelques auteurs grecs :