ΠΟΛΥΞΕΝΗ· Δούλη θανοῦμαι, πατρὸς οὖσ’ ἐλευθέρου. (« POLYXÈNE : Esclave je mourrai, alors que je suis la fille d’un père libre. », Euripide, Hécube)
Nous sommes le mardi 16 avril 2024. Il est exactement 22 h 45 en France métropolitaine.
En ce moment, l’affichage peut varier en fonction de tests de police, j’en suis désolé si cela affecte votre navigation.
(428 - 347 av. J.-C.)
Quelques éléments biographiques
Né à Athènes dans une grande famille, ce philosophe fut le disciple de Socrate dont il défendit les idées dans son œuvre, puisque celui-ci n’avait rien écrit. Il élabora son propre idéal philosophique par la suite, mais toujours fidèle à son maître qui est presque toujours l’un des personnages des dialogues philosophiques qu’il écrivit. Il voyagea dans plusieurs des régions bordant la Méditerranée avant de revenir enseigner dans sa ville natale dans l’école qu’il y avait fondée, l’Académie.
Son œuvre est constituée essentiellement de dialogues philosophiques, dont ne figurent ci-dessous que les plus importants.
Son œuvre
– L’Apologie de Socrate (Ἀπολογία Σωκράτους [Apologia Sôkratous] en grec) est un dialogue rapportant le procès de Socrate et la défense de celui-ci.
– Le Phédon (Φαίδων [Phaidôn] en grec), autre dialogue, est consacré à la mort et à l’immortalité de l’âme et relate les derniers instants de Socrate.
– La République (Πολιτεία [Politeia] en grec), dialogue en dix livres, définissant un modèle de cité accordant une place essentielle à la justice. Certains passages sont fort célèbres, comme « l’Allégorie de la caverne », les mythes de Gygès, d’Er.
– Les Lois (Νόμοι [Nomoi] en grec), ultime dialogue (dont Socrate est absent) dont les idées complètent La République.
– Le Banquet (Συμπόσιον [Symposion] en grec) porte sur l’amour et est constitué de discours prononcés par les différents intervenants.
page incomplète
Quelques auteurs grecs :
Retour en haut de la page
Retour à la page d’accueil
