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Omne tulit punctum, qui miscuit utile dulci

lectorem delectando pariterque monendo. (« Il a remporté tous les suffrages, celui a mêlé l’utile à l’agréable, en charmant tout en instruisant le lecteur. », Horace, Art poétique)

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Quatrième leçon de latin : le parfait

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Rappels

Nous avons vu dans une précédente leçon, la conjugaison du présent de l’indicatif, nous allons ici nous intéresser à un autre temps important, le parfait de l’indicatif.

Comme cette page est particulièrement longue et dense, j’ai choisi de n’aborder qu’un seul sujet.

Le thème du parfait

Lors de l’étude du présent de l’indicatif, nous avons évoqué les temps primitifs du latin. Je rappelle qu’il s’agit des trois formes à partir desquelles on peut former tous les temps de la conjugaison latine. Ainsi le présent de l’indicatif (de même que d’autres temps que nous verrons plus tard) se forme-t-il sur le thème du présent (premier temps primitif), et le deuxième temps primitif, le parfait, nous permet de connaître le deuxième thème, celui du parfait. Je vais désormais utiliser le terme infectum pour désigner le thème du présent, et celui de perfectum pour le thème du parfait, afin de rendre les choses plus claires.

J’avais pris l’exemple du verbe amo, amare dont la 1re personne du singulier du parfait de l’indicatif, amavi, nous donne le thème du parfait (perfectum). Cette forme en -i, que nous avons aussi rencontrée dans les listes de verbes (vocabulaire) permet de reconnaître ce thème du perfectum, qu’il soit régulier (comme le parfait amavi du verbe amo) ou irrégulier (comme le parfait fui du verbe sum, le parfait dixi du verbe dico, le parfait tetigi du verbe tango ou le parfait feci du verbe facio) – j’ai emprunté ces exemples au vocabulaire proposé en accompagnement de ces leçons (voir en bas de page). En effet, quelle que soit la conjugaison à laquelle appartient le verbe, la 1re personne du singulier du parfait sera toujours en -i (c’est la désinence) et les formes seront les mêmes.

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Les temps du parfait (perfectum)

Cette forme primitive (amavi par exemple) nous permet de construire et de conjuguer d’autres temps verbaux, surtout des temps du passé, souvent traduits en français par un temps composé. Je vais les indiquer ci-dessous à la 1re personne du singulier, nous verrons en temps utile leur conjugaison complète (qui s’avèrera fort simple). Le -i étant la marque du parfait (le temps), les autres temps seront formés sur le thème amav- du perfectum :

Dans la leçon sur le présent de l’indicatif, je n’avais pas indiqué les temps construits à partir du thème du présent (infectum), mais ils sont plus nombreux et nous les verrons bientôt avec leurs conjugaisons.

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La formation du parfait

Nous avons vu que la forme amavi était le parfait du verbe amo, are sans expliquer le passage de l’un à l’autre. Si la marque du parfait semble être l’adjonction de l’élément -av-, ce n’est pas toujours le cas, et il existe plusieurs façons de former le parfait, la plupart irrégulières – sans qu’il soit possible de le déterminer si on ne connaît pas la forme... Ces formations irrégulières sont donc à apprendre !

On peut néanmoins classer ces formations en fonction de certains critères répertoriés ci-dessous.

Les listes de verbes de mes pages de vocabulaire déjà vues (ici et ) comportent des verbes dont la formation du parfait est irrégulière.

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le parfait en -vi

Ce premier type de parfait représente la formation régulière (même s’il y a quelques exceptions). Il consiste en l’ajout de la consonne -v- au radical du verbe. Ce radical est obtenu en retirant re à l’infinitif (la forme obtenue se termine par la voyelle caractéristique de la conjugaison, voir ici). Cette formation concerne essentiellement les conjugaisons régulières, la première, la deuxième et la quatrième :

Ce type de parfait étant régulier, la plupart des verbes appartenant à ces trois conjugaisons formeront leur parfait de cette façon. Les exceptions sont, par définition, destinées à être connues quand on maîtrise la langue. Nous en verrons dans les catégories qui suivent.

Quelques verbes de la 3e conjugaison et de la (3e) conjugaison mixte ont un parfait en -vi, par exemple :

Un peu de vocabulaire (inconnu) : fleo, ere, evi, etum signifie pleurer ; scio, ire, ivi, itum savoir ; peto, ere, ivi, itum 1. chercher à atteindre / 2. demander.

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le parfait en -ui

Ce deuxième type de parfait ressemble au précédent, dans la mesure où la finale -ui se prononce de la même façon que -vi, mais la première commence par une voyelle (-u-), la seconde par une consonne (-v-). Cette finale se trouvera donc derrière une consonne (la voyelle caractéristique de la conjugaison étant absente). Même si elle est proche de la précédente, cette formation ne peut être considérée comme régulière.

Voici quelques exemples classés par conjugaison – On remarquera que la 2e est bien représentée (et bien d’autres que ceux qui sont répertoriés suivent ce modèle) :

Le vocabulaire (inconnu) un peu plus fourni : domo, are, ui, itum signifie dompter ; seco, are, ui, ctum couper ; debeo, ere, ui, itum devoir ; jaceo, ere, ui, itum être étendu ; placeo, ere, ui, itum plaire ; timeo, ere, ui craindre ; sero, ere, ui, rtum tresser ; tremo, ere, ui trembler ; aperio, ire, ui, rtum ouvrir ; operio, ire, ui, rtum couvrir ; salio, ire, ui, ltum sauter.

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le parfait en -si

Un autre type de parfait irrégulier consiste en l’ajout d’une autre consonne, le -s-, au radical du verbe. Le résultat pourrait être simple, et le verbe repo, ere devient repsi au parfait. Mais en réalité plusieurs facteurs viennent brouiller les cartes.

D’abord, cas le plus simple, le -s- peut provoquer des modifications phonétiques lorsqu’il suit une autre consonne. Ainsi le -b- final d‘un radical devient -p- devant -s-, et, par exemple, le parfait de nubo, ere est nupsi. De même, les consonnes gutturales (g, c, qu, h) se combinent avec le -s- pour devenir -x- (=-ks-), et, par exemple, dico, ere, figo, ere ou veho, ere ont respectivement comme parfait dixi, fixi et vexi. Enfin les consonnes dentales (d et t) disparaissent devant le -s-, et ainsi ludo, ere ou sentio, ire ont respectivement comme parfait lusi et sensi ; de même, les consonnes m et r tombent devant -s-.

Ensuite, une lettre peut s’intercaler, comme dans sumpsi, le parfait de sumo, ere, ou dans cessi, le parfait de cedo, ere. D’autres évolutions phonétiques se manifestent et expliquent (ou pas...) des formes moins attendues.

Bref, je vais proposer quelques exemples, comme précédemment, classés par conjugaison, mais regroupés par similitude (avec une dernière catégorie de cas particuliers) au sein de ce classement.  – À noter que la 3e conjugaison est fortement représentée, mais que la 1re ne comporte aucun parfait de ce type :

La liste du vocabulaire (inconnu) comprend beaucoup de verbes : maneo, ere, nsi, nsum signifie rester ; augeo, ere, auxi, auctum augmenter ; luceo, ere, luxi briller ; ardeo, ere, arsi, arsum brûler ; rideo, ere, risi, risum rire ; haereo, ere, haesi, haesum être attaché à ; jubeo, ere, jussi, jussum ordonner ; torqueo, ere, rsi, rtum tordre ; nubo, ere, nupsi, nuptum épouser ; figo, ere, fixi, fixum enfoncer ; fingo, ere, finxi, fictum façonner ; jungo, ere, nxi, nctum joindre ; pingo, ere, pinxi, pictum peindre ; veho, ere, vexi, vectum transporter ; claudo, ere, ausi, ausum fermer ; ludo, ere, lusi, lusum jouer ; cedo, ere, cessi, cessum marcher ; premo, ere, essi, essum presser ; sumo, ere, mpsi, mptum prendre ; conspicio, ere, spexi, spectum regarder.

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le parfait avec allongement

Une autre façon de former le parfait agit non sur la finale du radical du verbe, mais sur la dernière voyelle de ce radical. En effet, cette voyelle, brève dans le thème du présent, s’allonge au parfait, et parfois même, change de timbre. Ainsi, le présent jŭvo devient jūvi au parfait, ou, autre exemple, ăgo devient ēgi au parfait. Je rappelle que le latin ne distinguait pas à l’écrit une voyelle longue d’une voyelle brève.

Si vous avez du mal à distinguer les signes marquant la longueur des voyelles (brève ∪, longue — les symboles sont ici volontairement grossis), il peut être judicieux d’agrandir la taille du texte dans votre navigateur (touches Ctrl +).

Ce phénomène s’accompagne parfois d’une autre modification, comme, par exemple, la chute du n dans le passage du présent vinco au parfait vīci (en réalité, c’est le présent qui est irrégulier par rapport au parfait...).

Voici donc quelques exemples classés par conjugaison :

Le vocabulaire (inconnu) : mŏveo, ere, mōvi, mōtum signifie mouvoir ; sĕdeo, ere, sēdi, essum être assis ; ĕdo, ere, ēdi, ēsum manger ; ĕmo, ere, ēmi, emptum acheter ; elĭgo, ere, lēgi, lectum choisir ; fundo, ere, fūdi, fūsum répandre ; fŭgio, ere, fūgi fuir.

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le parfait avec redoublement

Un autre procédé pour former le parfait de certains verbes ressemble à la formation habituelle du parfait en grec ancien : il s’agit de répéter première consonne et première voyelle du verbe (parfois, la voyelle devient e), cette formation ne concernant d’ailleurs que des verbes commençant par une consonne. Par exemple, curro a pour parfait cucurri.

Cas particulier, si le verbe est préfixé, le redoublement se place après le préfixe ; par exemple, condo a pour parfait condidi.

Voici donc quelques exemples classés par conjugaison :

Le vocabulaire (inconnu) : mordeo, ere, momordi, morsum signifie mordre ; pendeo, ere, pependi être suspendu ; posco, ere, poposci demander ; cado, ere, cecidi, casum tomber ; cano, ere, cecini, cantum chanter ; parco, ere, peperci, parsum épargner ; condo, ere, didi, ditum fonder ; perdo, ere, didi, ditum perdre ; trado, ere, didi, ditum livrer ; pario, ere, peperi, partum engendrer.

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le parfait en -i

Un dernier « type » de parfait existe, qui consiste à simplement remplacer la terminaison du présent par celle du parfait sans aucun autre changement (même invisible à l’écrit comme un allongement). Les deux thèmes dont donc rigoureusement identiques, comme dans bibo et bibi.

Voici quelques exemples qui appartiennent tous à la 3e conjugaison :

Le vocabulaire (inconnu) un peu plus restreint : bibo, ere, bibi, bibitum signifie boire ; defendo, ere, ndi, nsum défendre ; incendo, ere, ndi, nsum brûler ; statuo, ere, ui, utum établir ; verto, ere, rti, rsum tourner.

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le parfait aléatoire

Finalement, j’ai choisi de regrouper sous cette appellation, tous les parfaits inclassables dans les catégories précédentes, notamment parce le thème du parfait est totalement différent de celui du présenr. Tel est le cas de sum dont le parfait est fui. Ce sont des verbes pleinement irréguliers.

En réalité, ces verbes sont très peu nombreux, puisque presque toutes les formes peuvent se rattacher à un des types précédents. Ainsi le verbe tero, terere dont le parfait est trivi peut-il se rattacher au type en -vi, même si la forme est clairement irrégulière. Autre exemple, le verbe cogo, cogere a pour parfait coegi, mais l’explication tient à l’origine du verbe : cogo vient du verbe ago (egi au parfait) précédé du préfixe co (au présent co-ago est devenu cogo). Citons également le verbe gigno, gignere dont le parfait est genui, formation « connue » (type de parfait en -ui), mais dont la forme est irrégulière – en réalité c’est le présent qui est irrégulier.

Parmi ces formes de parfaits aléatoires, nous trouvons le verbe très irrégulier fero et ses composés, dont le parfait est tuli (précédé d’un préfixe pour ses composés). Parmi ceux-ci, nous pouvons mentionner adfero, aufero, effero, offero, qui ont respectivement attuli, abstuli, extuli, obtuli pour parfaits.

Enfin, signalons l’existence de verbes qui n’existent pas aux temps de l’infectum, mais qui possèdent des formes de perfectum (donc de parfait, plus-que-parfait, futur antérieur) : il s’agit de coepi, memini et odi (en fait, ces parfaits se rattachent à des types connus et vus ci-dessus, à savoir respectivement, parfait à allongement, parfait à redoublement et parfait à allongement – l’étymologie et des formes archaïques nous l’apprennent).

Pour finir, le vocabulaire inconnu : cogo, ere, coegi, coactum signifie assembler, forcer ; gigno, ere, genui, genitum engendrer ; tero, ere, trivi, tritum frotter ; fero, ferre, tuli, latum porter ; adfero, ferre, attuli, allatum apporter ; aufero, ferre, abstuli, ablatum emporter (loin) ; effero, ferre, extuli, elatum emporter (hors de) ; offero, ferre, obtuli, oblatum offrir ; coepi, coepisse, coeptum avoir commencé ; memini, isse se souvenir ; odi, isse haïr.

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Les désinences du perfectum

Les désinences du parfait

Après ces longues explications sur la formation du parfait, voyons les marques de personne qui sont spécifiques à ce temps. Nous avons vu ici de façon informelle quelles étaient les désinences habituelles de la conjugaison ; celles du parfait sont donc pour la plupart différentes. Par ailleurs, comme déjà indiqué, tous les verbes, quelle que soit leur conjugaison (1re, 2e, etc) se conjuguent de la même façon, contrairement au présent (où la voyelle précédant la marque de personne vie selon la conjugaison).

Ces marques de personne sont les suivantes (je prends l’exemple du verbe amo, are, avi, atum) :

le parfait
1re du sing. amavi
2e du sing. amavisti
3e du sing. amavit
1re du plur. amavimus
2e du plur. amavistis
3e du plur. amaverunt

Quelques remarques :

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Les désinences des autres temps du perfectum

À titre complémentaire, voici la conjugaison des autres temps du perfectum qui, comme pour le parfait, présente les mêmes désinences de personne, quel que le type de parfait ou la conjugaison (j’ai choisi fui, le parfait de sum comme modèle). J’ai mis en évidence la caractéristique de chacun des temps, mais il est inutile de tout retenir pour l’instant.

indicatif plus-que-parfait
1re du sing. fueram
2e du sing. fueras
3e du sing. fuerat
1re du plur. fueramus
2e du plur. fueratis
3e du plur. fuerant
indicatif futur antérieur
1re du sing. fuero
2e du sing. fueris
3e du sing. fuerit
1re du plur. fuerimus
2e du plur. fueritis
3e du plur. fuerint
subjonctif parfait
1re du sing. fuerim
2e du sing. fueris
3e du sing. fuerit
1re du plur. fuerimus
2e du plur. fueritis
3e du plur. fuerint
subjonctif plus-que-parfait
1re du sing. fuissem
2e du sing. fuisses
3e du sing. fuisset
1re du plur. fuissemus
2e du plur. fuissetis
3e du plur. fuissent

Quelques remarques :

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Les valeurs du parfait

Après avoir fait de la morphologie (étude des formes), voyons maintenant les différents emplois du parfait. En effet, si le présent de l’indicatif (vu dans une précédente leçon) a des valeurs proches de celles du français (nous y reviendrons en détail plus tard), le parfait (de l’indicatif) implique des nuances particulières, ne serait-ce que parce que le temps n’existe pas en français.

Pour l’instant, nous retiendrons trois principaux emplois de ce temps :

  1. D’abord, c’est un temps du passé (on parle quelquefois d’« accompli »), correspondant à deux temps du français qui n’existent pas en latin, le passé simple et le passé composé ; il caractérise ainsi une action révolue, de premier plan, souvent unique, c’est le temps utilisé pour le récit et parfois pour la description ; dans ce dernier cas, il peut se traduire par un imparfait, alors que les emplois précédents se traduisent par l’un des deux passés (simple ou compoé), en fonction des nuances propres au français.

    • Milites oppidum defenderunt. signifie Les soldats défendirent la place-forte.
    • Veni vidi vici. signifie Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. (paroles attribuées à César)
    • Caesar altus homo fuit. signifie César était un grand homme.
  2. Par ailleurs, le parfait peut aussi marquer le résultat présent d’une action passée ; certains verbes ont même au parfait un sens de présent, par exemple novi (parfait de nosco, apprendre) traduit par savoir, c’est-à-dire savoir après avoir appris ; c’est aussi le cas des verbes sans présent memini et odi que l’on traduit par des présents, respectivement se souvenir et haïr.

    • Imperator vixit. signifie Le général n’est plus. (il a vécu)
  3. Enfin le parfait est utilisé pour indiquer une action antérieure à une autre, notamment dans une proposition subordonnée de temps. Nous aborderons plus tard la subordination, mais je vais proposer un exemple simple où le parfait sera traduit par un passé antérieur :

    • Postquam milites hostes vicerunt, castra deleverunt. signifie Après que les soldats eurent vaincu les ennemis, ils détruisirent leur camp.

    La proposition subordonnée est ici introduite par postquam qui signifie après que et l’action relatée est bien antérieure à celle de la proposition principale, située elle aussi dans le passé.

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La page de vocabulaire récapitulant (et complétant) les verbes mentionnés sur cette page se trouve ici – une seule page de vocabulaire pour cette longue leçon. Nous verrons dans la prochaine étape, ici, les compléments de lieu et les pronoms relatifs.

Liens vers les pages de vocabulaire indiquées sur cette page et les précédentes

Rappel : ces listes proposent quelques dizaines de mots courants sur chaque page, permettant ainsi une acquisition progressive du vocabulaire latin. Il ne s’agit en aucun cas de répertoires exhaustifs.

Voici aussi quelques pages « thématiques » (sans lien avec celles qui précèdent) :

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